jeudi 2 juillet 2015
mercredi 1 juillet 2015
Nous étions à l'observatoire du Pic des fées, à l'appel des étoiles...
Ce jeudi 18 juin 2015, à 20h30, un grand groupe de Cuersois et amis, invité par Culture d'Avenir, était au rendez -vous, tout en haut du Mont des oiseaux, rue des pinsons à Hyères...
En arrivant, un cri d'émerveillement, une vue extraordinaire sur les deux flèches de terre, étroites, fragiles qui enserrent les anciens marais salants et accrochent la presqu'île de Giens comme un grand bateau face aux îles. La mer est d'un bleu pastel plus sombre à l'horizon, (nous apprenons qu'il s'agit de l'ombre de la courbure terrestre), au-dessus une touche de rose et un bleu aussi doux pour le ciel, balayé par un mistralo bienvenu. La lune est au premier quartier, un cil au-dessus des pins. Avant qu'elle ne disparaisse, certains ont la chance d'observer mers et cratères sur le mince croissant.
La première étoile qui s'allume, n'en est pas une, c'est la planète Venus, puis c'est Jupiter. Les scientifiques passionnés et bénévoles qui nous accueillent, nous présente leur cadran solaire, puis ouvrent trois coupoles blanches et dardent leur énormes télescopes, parmi les plus puissants d'Europe, vers le ciel. Au fur et à mesure que la nuit vient, toutes les constellations s'illuminent. Nous voyons passer l'International Space Station, un satellite commun à toutes les nations qui reflète la lumière sur ses grands miroirs. Nous découvrons Jupiter et ses quatre lunes, un amas d'étoiles , une double étoile bleue et rouge orangée, une nébuleuse autour d'une étoile en train de mourir...
Pendant que les groupes de dix personnes passent à tour de rôle sous les coupoles, le président de l'association des astronomes de l'Observatoire du Pic des Fées nous explique sa fondation sur un terrain loué à la marine. Ils ont construit eux même leurs locaux, leur amphithéâtre en plein air et ils se chargent aussi de l'entretien. Dans une coupole réservée à cet effet, il va passer une grande partie de la nuit à photographier planète ou étoile. Nous lisons avec beaucoup d'application La grande et la petite ourse, l'étoile polaire, le scorpion, Véga et Demeter. Il est plus de minuit quand nous partons bercés par des grands mythes qui nous expliquent les saisons.
La première étoile qui s'allume, n'en est pas une, c'est la planète Venus, puis c'est Jupiter. Les scientifiques passionnés et bénévoles qui nous accueillent, nous présente leur cadran solaire, puis ouvrent trois coupoles blanches et dardent leur énormes télescopes, parmi les plus puissants d'Europe, vers le ciel. Au fur et à mesure que la nuit vient, toutes les constellations s'illuminent. Nous voyons passer l'International Space Station, un satellite commun à toutes les nations qui reflète la lumière sur ses grands miroirs. Nous découvrons Jupiter et ses quatre lunes, un amas d'étoiles , une double étoile bleue et rouge orangée, une nébuleuse autour d'une étoile en train de mourir...
Pendant que les groupes de dix personnes passent à tour de rôle sous les coupoles, le président de l'association des astronomes de l'Observatoire du Pic des Fées nous explique sa fondation sur un terrain loué à la marine. Ils ont construit eux même leurs locaux, leur amphithéâtre en plein air et ils se chargent aussi de l'entretien. Dans une coupole réservée à cet effet, il va passer une grande partie de la nuit à photographier planète ou étoile. Nous lisons avec beaucoup d'application La grande et la petite ourse, l'étoile polaire, le scorpion, Véga et Demeter. Il est plus de minuit quand nous partons bercés par des grands mythes qui nous expliquent les saisons.
L'observatoire organise des soirées pour le public. Renseignez-vous et allez-y, c'est un enchantement!
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