En cime, sur le chemin caillouteux de Grande Randonnée,,
que tu as foulé en scrutant le panorama à 360 degrés,
le regard se porte vers l'infini.
Aucun nuage, en ce coucher de soleil, mais, là-bas, dans le lointain,
un rayon bleuté attire l'attention.
Aussitôt, les pensées s'envolent vers toi, toujours présent, prêt à s'investir, à participer.
Ce point lumineux fixe l'espoir pour nous tous, pour ta famille que tu as tant aimée;
pour moi qui te remercie de ton amitié
Michèle Chaix
que tu as foulé en scrutant le panorama à 360 degrés,
le regard se porte vers l'infini.
Aucun nuage, en ce coucher de soleil, mais, là-bas, dans le lointain,
un rayon bleuté attire l'attention.
Aussitôt, les pensées s'envolent vers toi, toujours présent, prêt à s'investir, à participer.
Ce point lumineux fixe l'espoir pour nous tous, pour ta famille que tu as tant aimée;
pour moi qui te remercie de ton amitié
Michèle Chaix
Culture d’Avenir est
en deuil. Nous avons perdu notre géographe, notre photographe, notre ami
Célestin MATTALIA. Mais sa présence souriante, précieuse, comme celle de
Josette GUIOL est inscrite dans l’histoire de notre association, dans le livre
rédigé en commun « Balades en Toponymie cuersoise », elle est dans
nos têtes et nos cœurs.
Nous
adressons toute notre sympathie à Michèle son épouse et notre présidente qui
trouvera auprès de nous, soutien et considération mais aussi occasions d’exprimer
son énergie, ses convictions et le bel humanisme qu’ils avaient en commun.
Voici un extrait d’un beau poème choisi par
son petit fils : « Nos absents » de Grand Corps Malade.
« C'est pas vraiment
des fantômes, mais leur absence est tellement forte,
qu'elle crée en nous une présence qui nous rend faible, nous supporte.
C'est ceux qu'on a aimé qui créaient un vide presque tangible, car l'amour qu'on leur donnait est orphelin, il cherche une cible.
Pour certains on le savait, on s'était préparé au pire, mais d'autres ont disparu d'un seul coup, sans prévenir.
On leur a pas dit au revoir, ils sont partis sans notre accord, car la mort a ses raisons que notre raison ignore.
Alors on s'est regroupé d'un réconfort utopiste. A plusieurs on est plus fort mais on est pas moins triste… »
qu'elle crée en nous une présence qui nous rend faible, nous supporte.
C'est ceux qu'on a aimé qui créaient un vide presque tangible, car l'amour qu'on leur donnait est orphelin, il cherche une cible.
Pour certains on le savait, on s'était préparé au pire, mais d'autres ont disparu d'un seul coup, sans prévenir.
On leur a pas dit au revoir, ils sont partis sans notre accord, car la mort a ses raisons que notre raison ignore.
Alors on s'est regroupé d'un réconfort utopiste. A plusieurs on est plus fort mais on est pas moins triste… »