C'est une nouvelle bien triste. Christian BRASCHI est décédé, il avait fait du cinéma Royal à Toulon un rendez vous pour tous les amateurs petits et grands. Il avait pu inviter à Toulon de nombreux réalisateurs, de temps en temps la grande salle se transformait en caveau de jazz, tout cela à des prix défiant toute concurrence.... Souhaitons que son esprit perdure longtemps....
VAR MATIN du 29-11 2017 lui rend hommage
jeudi 30 novembre 2017
lundi 27 novembre 2017
ET jeudi 30 novembre à L'Oustaou per Toutti
vous invite à vous informer et à débattre...
mercredi 22 novembre 2017
Ce soir mercredi 22 novembre au cinéma à Cuers
À 18h L'ATELIER
de Laurent CANTET avec Marina FOÏS, Mathieu LUCCI, Warda PAMMACH...
Robin CAMPILLO co-scénariste ( a réalisé "120 battements par minute")
La Ciotat, été 2016. Antoine a accepté de suivre un atelier d’écriture où quelques jeunes en insertion doivent écrire un roman noir avec l’aide d’Olivia, une romancière connue. Le travail d’écriture va faire resurgir le passé ouvrier de la ville, son chantier naval fermé depuis 25 ans, toute une nostalgie qui n'intéresse pas Antoine. Davantage connecté à l'anxiété du monde actuel, il va s’opposer rapidement au groupe et à Olivia, que la violence du jeune homme va alarmer autant que séduire.
Une aventure passionnante servie par d'excellents acteurs, ne le laissez pas passer.... Des cadrages magnifiques sur La Ciotat ainsi que des images d'archives émouvantes...
À 20h30 ÉPOUSE MOI MON POTE
de Tarek BOUDALI comédie.
de Laurent CANTET avec Marina FOÏS, Mathieu LUCCI, Warda PAMMACH...
Robin CAMPILLO co-scénariste ( a réalisé "120 battements par minute")
La Ciotat, été 2016. Antoine a accepté de suivre un atelier d’écriture où quelques jeunes en insertion doivent écrire un roman noir avec l’aide d’Olivia, une romancière connue. Le travail d’écriture va faire resurgir le passé ouvrier de la ville, son chantier naval fermé depuis 25 ans, toute une nostalgie qui n'intéresse pas Antoine. Davantage connecté à l'anxiété du monde actuel, il va s’opposer rapidement au groupe et à Olivia, que la violence du jeune homme va alarmer autant que séduire.
Une aventure passionnante servie par d'excellents acteurs, ne le laissez pas passer.... Des cadrages magnifiques sur La Ciotat ainsi que des images d'archives émouvantes...
À 20h30 ÉPOUSE MOI MON POTE
de Tarek BOUDALI comédie.
mardi 14 novembre 2017
au cinéma Authié, ce mercredi 15 novembre...
18h L'ÉCOLE BUISSONNIÈRE
de Nicolas VANIER
20h30 AU REVOIR LÀ-HAUT à ne pas manquer, séance de rattrapage....
de et avec Albert Dupontel - Nahuel Perez Biscayart, Laurent Lafitte Com. dramatique - 1h57
de Nicolas VANIER
20h30 AU REVOIR LÀ-HAUT à ne pas manquer, séance de rattrapage....
de et avec Albert Dupontel - Nahuel Perez Biscayart, Laurent Lafitte Com. dramatique - 1h57
Novembre 1919. Deux rescapés des tranchées, l'un dessinateur de génie, l'autre modeste comptable, décident de monter une arnaque aux monuments aux morts. Dans la France des années folles, l'entreprise va se révéler aussi dangereuse que spectaculaire.
samedi 4 novembre 2017
Mercredi au cinéma de Cuers deux bons films !!!
À 18h AU REVOIR LA-HAUT - xx
de et avec Albert Dupontel - Nahuel Perez Biscayart, Laurent Lafitte Com. dramatique - 1h57
de et avec Albert Dupontel - Nahuel Perez Biscayart, Laurent Lafitte Com. dramatique - 1h57
Novembre 1919. Deux rescapés des tranchées, l'un dessinateur de génie, l'autre modeste comptable, décident de monter une
arnaque aux monuments aux morts. Dans la France des années folles, l'entreprise va se révéler aussi dangereuse que spectaculaire.
Bonnes critiques des spectateurs pour:
20h30 CARBONE -
d' Olivier Marchal - avec Benoît Magimel, Laura Smet, Gringe - Policier - 1h44
Menacé de perdre son entreprise, Antoine Roca, un homme ordinaire, met au point une arnaque qui deviendra le casse du siècle. Rattrapé par le grand banditisme, il lui faudra faire face aux trahisons, meurtres et règlements de compte.
Télérama : critique lors de la sortie en salle le 24/10/2017
Par Samuel Douhaire
Pour Albert Dupontel, l’adaptation d’Au revoir là-haut constituait un pari risqué. Question de budget, d’abord : la reconstitution de la Première Guerre mondiale puis des Années folles est, en terme de logistique, sans commune mesure avec les comédies contemporaines réalisées jusqu’alors par l’auteur de Bernie. Question de sujet, ensuite : comment l’acteur-réalisateur, créateur de scénarios originaux, allait-il se débrouiller avec les mots, l’imagination foisonnante d’un autre ?
Paris risqué mais gagné. Il n’y a qu’une scène de combat, mais c’est l’une des plus impressionnantes jamais vues sur les tranchées. La richesse et la beauté des décors et des costumes ne figent jamais le film. Et Dupontel réussit à être fidèle à l’esprit — et souvent à la lettre — du livre de Pierre Lemaître, tout en l’incorporant à son propre univers.
Les grandes lignes du très touffu Prix Goncourt 2013 sont condensées dans un récit qui file à la vitesse d’une balle. Un vrai roman-feuilleton, avec ses héros brisés qui tentent de se reconstruire, son salaud que l’on adore haïr (le très suave Laurent Lafitte) et ses nombreux personnages secondaires très typés (dont un drôle de rond-de-cuir incorruptible, incarné avec fantaisie par Michel Vuillermoz)… Juste avant l’armistice, deux poilus sont blessés lors d’une dernière offensive inutile. Albert, modeste comptable (Dupontel lui-même, dans son registre lunaire et maladroit), s’en sort avec des égratignures après avoir été enterré vivant. Edouard, fils rebelle de bonne famille, est, lui, défiguré (Nahuel Pérez Biscayart, le héros de 120 Battements par minute, est génial dans ce rôle quasi muet : toute la palette des sentiments passe par son regard). Après l’armistice, le premier, désormais chômeur, fait croire à la mort du second et organise avec lui une arnaque juteuse : les deux complices se font payer très cher pour concevoir des monuments aux morts qui ne seront jamais construits.
L’anarchiste Dupontel s’en donne à cœur joie pour dénoncer les ravages du patriotisme et le cynisme des puissants : grand moment du film, une séquence de fête décadente dans un hôtel de luxe tourne au jeu de massacre antibourgeois. Sa virulence politique est indissociable, comme toujours, d’une profonde tendresse pour les marginaux. Le cinéaste aime le burlesque mais n’a pas peur du mélo : il réussit à rendre très émouvantes des scènes qui, sur le papier, avaient tout pour être ridicules. Les couleurs sépia, une certaine tendance au pittoresque dans l’évocation du Paris populaire font, parfois, redouter un excès de joliesse — le Jean-Pierre Jeunet d’Un long dimanche de fiançailles n’est pas loin. Mais Albert Dupontel parvient toujours à équilibrer l’eau de rose et le vitriol. Avec, en prime, de formidables trouvailles visuelles : à travers la collection de masques portés par Edouard pour cacher sa gueule cassée, tout l’art moderne et la culture populaire du début du XXe siècle défilent…
d' Olivier Marchal - avec Benoît Magimel, Laura Smet, Gringe - Policier - 1h44
Menacé de perdre son entreprise, Antoine Roca, un homme ordinaire, met au point une arnaque qui deviendra le casse du siècle. Rattrapé par le grand banditisme, il lui faudra faire face aux trahisons, meurtres et règlements de compte.
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